Comment savoir s’il y a de la Mérule ?
Pour savoir détecter la mérule à temps il faut savoir que la mérule découle d’un problème anormal d’humidité et de confinement dans le bâti.
Les alertes de signes de présence de mérule :
- Odeur de sous-bois
- Présence de mérule sur du bois
- La présence d’humidité localisée
- Des boiseries (plinthes, chambranles, escalier…) déformées et gonflées
- Pourriture du bois sous forme de cubes
- Des traces cotonneuses épaisses et blanches
- Présence de mycélium, petite touffe de «mousse» blanchâtre
- Présence de filaments gris argenté formant comme une toile d’araignée
- La présence de carpophores en forme de console
- Présence d’une poussière rouge ultrafine, déposée sur les surfaces horizontales.
Détermination de la zone d’intervention du traitement fongicide.
Localiser avec précision tous les indices de présences de champignons, et délimiter une zone de 2.00 mètres qui seront nommés zone de traitement anti-mérule.
Les sols, bois et maçonneries devront être traités conformément aux modes opératoires fixés par les règles techniques pour le traitement curatif des bois en œuvre et des constructions contre les champignons lignivores dont la mérule en particulier.
Travaux de préparation au traitement contre la mérule
La préparation du traitement consiste à déposer tout enduit ou revêtement sur la zone contaminée afin de la traiter:
• Dépose des revêtements de sols
• Dépose de tout appareillage (radiateurs, appareil électriques......)
• Dépose des doublages
• Dépose des enduits sur les murs (ciments, chaux, plâtres...)
• Mise à nu des bois (colombages, linteaux, raidisseurs...)
• Dépose de tous les éléments bois ayant perdus leur résistance mécanique.
L’ensemble des gravats, doivent être traités par pulvérisation de produit fongicide avant d’être emmenés en décharge, afin d’éviter toute contamination de site supplémentaire.
Ces opérations ne sont pas toujours du ressort de la société Rolland des bois mais sont obligatoire afin d’assurer la garantie des travaux.
Compte tenu de la difficulté à localiser les filaments mycéliens, il se peut que lors des travaux préparatoires on découvre que l’ampleur de l’extension des filaments est plus importante que ceux prévus au devis. Dans ce cas avertir le client, et proposer au client soit un prix au m2 sur la base du devis initial. Ces avenants devront être chiffrés par écrit et acceptés par le client avant toute intervention. Dans le cas où le client refuse la réalisation des avenants, ne pas donner de garanties sur les travaux et le préciser sur la facture.
A l’issue des travaux préparatoires, effectuer un grattage et brossage des maçonneries à l’aide d’une brosse métallique.
Sur les sols, maçonneries, effectuer à l’aide d’un chalumeau d’étancheur un brûlage afin de détruire les organes du champignon (fructifications, filaments...) à l’aide de la flamme.
Avant toute opération de brûlage s’assurer:
• D’avoir supprimé tous les petits éléments en bois ou combustible dans les maçonneries lors du grattage.
• Qu’aucune gaine électrique n’est encastrée dans la maçonnerie. Dans le cas de présence de gaine électrique ou autres, éviter de passer la flamme dessus.
• Avoir un extincteur en état de marche et contrôlé à moins de 10 mètres du lieu de l’intervention.
Après les opérations de brûlage rester sur le site 1 heure, afin de s’assurer qu’aucune flammèche ne puisse enflammer le bâtiment à l’issue des opérations.
Traitement des sols en terre battue contre la mérule
Après décapage et grattage des sols, il est réalisé un épandage à raison de 0,5 litre/m2. S’il est prévu de couler une chape béton, laissé sécher 24 heures avant le coulage de la dalle.
Le traitement Mérule des Maçonneries
Sur le pourtour de la zone de traitement il est réalisé:
- une barrière d’injection basse à 10 cm maximum par rapport au sol le plus haut.
Objectif : Mettre en place une barrière fongicide à la base du mur à traiter sur une ligne continue afin d’isoler la maison par rapport au sol et empêcher l’évolution des filaments de mérule.
Techniques : Les forages sont réalisés sur une ligne continue, espacés les uns des autres de 20cm quel que soit le type de matériaux briques, parpaings, moellons... entre 5 cm et 20 cm du sol le plus haut entre les deux faces du mur.
Les forages ont une profondeur égale à l’épaisseur du mur moins 5 cm (ex: mur de 50 cm = 45 cm de profondeur d’injection) et ont un diamètre de 12 mm. (Faire attention à la différence d’épaisseur dans les soubassements des fenêtres).
Si les maçonneries ont une épaisseur supérieure à 60 cm, il est conseillé de réaliser une ligne de forages de part et d’autre du mur, en croisant les injections.
- une barrière d’injection haute.
- deux rappels verticaux.
Ces barrières sont composées de forages qui ont un diamètre de 12 mm et espacés les uns des autres de 20 cm.
L’ensemble des forages ont une profondeur égale à l’épaisseur du mur moins 5 cm (ex: mur de 50 cm = 45 cm de profondeur d’injection)
L’angle de forage ne devra pas excéder 10°.
Les barrières sont réalisées sur la face du mur où a été constatée la présence des filaments.
Chaque forage sera injecté sous faible pression à l’aide d’une canule à injection automatique munis d’un volucompteur afin de vérifier la quantité de produits injectée.
Quantité de produit à injecter
Chaque forage sera injecté de produit fongicide à raison de 1 litre/ 10 cm/ml et ce à une pression d’environ 5 bars
Exemple: Un mur de 40 cm d’épaisseur, on injectera 4 litre /ml répartis équitablement entre les 5 forages soit 0.8 litre/ forage
Rebouchage:
Le rebouchage est une phase importante du traitement, car plus les injections seront discrètes, plus on préservera l’esthétique du bâtiment à traiter.
Il n’est pas autorisé de reboucher les forages à l’aide d’injecteurs en plastique.
Chaque forage est rebouché à l’aide d’un enduit le plus proche de la couleur de l’enduit existant.
Dans le cas de présence de papier peint: Décoller le papier sur la hauteur de la barrière, réaliser la barrière, reboucher les forages et recoller le papier peint.
Dans certain cas de rénovation, il est autorisé de ne pas reboucher les forages.
A l’intérieur de la zone de traitement, il est réalisé un quadrillage.
Les forages sont réalisés sur plusieurs lignes parallèles espacées les unes des autres de 0.30m. Les forages ont un diamètre de 12mm et espacés les uns des autres de 30cm.
L’ensemble des forages ont une profondeur égale à l’épaisseur du mur moins 5 cm (ex: mur de 50 cm = 45 cm de profondeur d’injection)
L’angle de forage ne devra pas excéder 10°.
Les barrières sont réalisées sur la face du mur où a été constatée la présence des filaments.
Chaque forage sera injecté sous faible pression à l’aide d’une canule à injection automatique munis d’un volucompteur afin de vérifier la quantité de produits injectée.
Quantité de produit à injecter:
Chaque forage sera injecté de produit fongicide à raison de 2 litre/ m2/10 cm d’épaisseur et ce à une pression d’environ 5 bars
Exemple: Un mur de 40 cm d’épaisseur, on injectera 8 litre /m2 répartis équitablement entre les forages.
Rebouchage:
Le rebouchage est une phase importante du traitement, car plus les injections seront discrètes, plus on préservera l’esthétique du bâtiment à traiter.
Il n’est pas autorisé de reboucher les forages à l’aide d’injecteurs en plastique.
Chaque forage est rebouché à l’aide d’un enduit le plus proche de la couleur de l’enduit existant.
Dans le cas de présence de papier peint: Décoller le papier sur la hauteur de la barrière, réaliser la barrière, reboucher les forages et recoller le papier peint.
Dans certain cas de rénovation, il est autorisé de ne pas reboucher les forages.
Le traitement contre la mérule des éléments en bois
L’ensemble des bois conservés dans la zone d’intervention devront obligatoirement être traités pat injection et pulvérisation.
Les bois trop contaminés sont déposés et brûlés.
Traitement des huisseries de portes et fenêtres
Objectif: Injecter des produits fongicides, à l’intérieur des dormants de portes et fenêtres afin que les champignons ne puissent continuer à se développer. Sur certaines maisons dont les huisseries ont été rénovées en plastique, il se peut que les montants en bois aient été conservés, il est donc indispensable de les traiter.
Technique : Réalisation de forages dans la feuillure des montants espacés les uns des autres de 0.50 m. Les forages ont un diamètre de 6 mm. Les injections sur chaque extrémité de montants déboucheront directement dans le mur. Les autres auront une profondeur égale à la moitié de l’épaisseur de l’élément bois considéré. Après mis en place d’injecteurs plastiques à tête auto-obstruant, le produit de préservation des bois sera injecté jusqu’à refus et ce à faible pression afin de ne pas faire éclater les fibres du bois.
Afin de préserver l’esthétique, les injecteurs après utilisation, peuvent être remplacés par des tourillons en bois préalablement traité ou de pâte à bois.
Traitement des plinthes et cimaises
Objectif : Injecter des produits fongicides sur la face de la plinthe ou cimaise en contact avec les maçonneries afin que les champignons ne puissent se développer.
Technique : Réalisation de forages sur la partie supérieure de la plinthe ou cimaise espacés les uns des autres de 30 cm. Les forages ont un diamètre de 3 mm, et débouchent directement dans l’interstice entre la face du bois en contact avec la maçonnerie et la maçonnerie. Le produit fongicide est injecté à l’aide d’un embout de type “aiguille” jusqu’à refus et ce à faible pression.
Dans certains cas de décollement des plinthes par rapport au mur, ou possibilité de démontage, il n’est pas nécessaire de réaliser des forages, il suffit de pulvériser la face du bois en contact avec les maçonneries.
Rebouchage : Compte tenu du diamètre des injections, il n’est pas nécessaire de les reboucher, si elles demeurent trop visibles, il est possible de les reboucher à l’aide de pâte à bois.
Traitement des planchers
Objectif : Imprégner les lames de plancher d’un produit de préservation, afin que les champignons ne puissent se développer.
Technique : La pulvérisation est réalisée sur la face supérieure du plancher.
Les lames de plancher doivent être décapés de tout résidu de colle, ré agréage, lasure, cire etc.... et propres.
Dans le cas de rénovation d’un plancher, les travaux de ponçage et de réparation des lames détériorées doivent être réalisés avant la pulvérisation. Il est conseillé également de faire un test de compatibilité avec la cire ou lasure qui sera utilisé ultérieurement pour la rénovation du parquet.
Une fois les phases préparatoires réalisées, le produit est alors pulvérisé à raison d’1l/m2. Faire attention au risque de coulure et tâche au plafond inférieur. Il faut également faire attention aux risques d’éclaboussure du produit lors de la réalisation des travaux.
Dans le cas d’un double plancher
Réaliser un quadrillage sur le plancher supérieur à l’aide d’une mèche de 3 mm. Les forages sont réalisés à chaque intersection d’un quadrillage de maillage de 50 cm. Réaliser de préférence les injections dans les jointures des lames. Les forages devront traverser le premier plancher et seront injectés sous pression de produit de préservation jusqu’à refus. Le plancher supérieur sera traité comme vu précédemment.
Rebouchage : Compte tenu du diamètre des injections, il n’est pas nécessaire de les reboucher. Si elles demeurent trop visibles, il est possible de les reboucher à l’aide de pâte à bois.
Traitement des portées de solives et solives
Objectif : Injecter du produit de préservation des bois sur la zone de contact bois/maçonnerie de la solive afin d’empêcher les champignons de l’attaquer.
Dans le cas où :
- une solive présente une attaque de champignons
- une solive est muraillère
- une solive est située sur un niveau infesté et qu’elle est cachée, elle doit être obligatoirement injectée sur toute sa longueur.
Dans le cas où les solives sont inaccessibles ni par dessus ni par dessous, faire effranger ou déposer les plafonds ou bien les planchers pour les rendre accessibles, vérifier leur état et les traiter.
Technique: Cas des solives apparentes
Traiter les ancrages de préférence par la partie visible. Réaliser deux forages sur la tranche de la solive la plus importante, débouchant directement sur la maçonnerie. Réaliser ensuite un forage espacé de 5 cm par rapport a l’aplomb du mur, suivi de deux autres forages réalisés en quinconce par rapport au premier espacés l’un de l’autre de 20 cm.
Dans le cas où la solive doit être injectée sur toute sa longueur, continuer les injections en quinconce. Les forages d’un diamètre de 9 mm ont pour profondeur 3/4 de l’épaisseur de l’élément bois considéré. Après mis en place d’injecteur plastique à tête auto-obstruant, le produit de préservation est injecté à faible pression jusqu’à refus. Si possible finir l’injection par une pulvérisation de l’ancrage de la solive si on ne traite que celui-ci ou la longueur si la solive est traitée entièrement.
Rebouchage : Les chevilles plastiques peuvent être laissées en place, ou remplacées par un tourillon bois préalablement traité ou par de la pâte à bois.
Technique: Cas des solives non apparentes
Lorsque la solive est cachée en sous-face par un faux plafond et en surface par un plancher, il est possible de la traiter au travers du plancher.
Repérer les solives (clous, détecteur métaux, métrage....). Réaliser la première injection débouchant directement sur la maçonnerie. L’injection suivante se situera à 5 cm par rapport à l’aplomb du mur suivi de deux autres injections espacées les unes des autres de 20 cm sur une même ligne. Dans le cas où la solive doit être injectée sur toute sa longueur, répéter les injections tous les 20 cm. Les injections d’un diamètre de 9 mm ont pour profondeur 2/3 de l’épaisseur de la solive. Chaque puits d’injection sera injecté par gravité à refus de produit de préservation des bois. Répéter l’opération 2 à 3 fois. Compléter l’opération d’injection par une pulvérisation du plancher si possible.
Dans le cas d’un double plancher, traiter les deux solivages.
Rebouchage : Les forages seront rebouchés à l’aide d’un tourillon bois préalablement traité.
Traitement des portées de poutres maîtresses et poutres maîtresses
Objectif : Injecter du produit fongicide sur la zone de contact bois/maçonnerie de la solive afin d’empêcher les champignons de l’attaquer.
Dans le cas où :
- une poutre présente une attaque de champignons
- une poutre est située sur un niveau infesté et qu’elle est cachée elle doit être obligatoirement injectée sur toute sa longueur
Dans le cas où les poutres ne sont pas visibles, mettre nue la zone à traiter, la portée ou la totalité de la poutre si celle-ci doit être traitée sur sa longueur…
Technique : Réaliser deux forages sur chaque côté opposés de la poutre, débouchant directement sur la maçonnerie.
Réaliser ensuite un forage espacé de 5 cm par rapport a l’aplomb du mur, suivi de deux autres forages réalisés en quinconce par rapport au premier et espacés l’un de l’autre de 20 cm. Répéter l’opération sur la face opposée en inversant les hauteurs d’injections. Dans le cas où la poutre doit être injectée sur toute sa longueur, continuer les injections en quinconce. Les forages d’un diamètre de 9 mm ont pour profondeur 3/4 de l’épaisseur de l’élément bois considéré.
Après mis en place d’injecteur plastique à tête auto-obstruant, le produit de préservation est injecté à faible pression jusqu’à refus. Si possible, finir l’injection par une pulvérisation de l’ancrage de la poutre si on traite que celui-ci ou la longueur si la poutre est traitée entièrement.
Rebouchage : Les chevilles plastiques peuvent être laissées en place, ou remplacées par un tourillon bois préalablement traité ou par de la pâte à bois.
Traitement des linteaux bois
Objectif : Injecter du produit fongicide dans les bois en contact avec la maçonnerie afin d’empêcher les champignons de s’en nourrir. Les linteaux ont une fonction structurelle, il est donc important de les localiser, les diagnostiquer et les traiter.
Souvent ses bois sont cachés, il ne faut pas hésiter à les faire dégarnir afin de réaliser un traitement efficace et vérifier leur état mécanique.
Dans le cas où plusieurs linteaux sont superposés, les traiter indépendamment les uns des autres.
Technique : Sur une des faces visibles du linteau, réaliser des forages sur chaque extrémité du linteau débouchant sur la maçonnerie latérale du linteau. Réaliser deux forages débouchant sur la maçonnerie opposée à la face visible du linteau.
Réaliser une série de forages en quinconce espacés les uns des autres de 0.20 m et ayant une profondeur égale au 3/4 de l’épaisseur du linteau. Les forages qui ont un diamètre de 9 mm après mise en place d’injecteur plastique à tête auto-obstruant sont injectés à faible pression jusqu’à refus de produit de préservation des bois.
Rebouchage : Les chevilles plastiques peuvent être laissées en place, ou remplacées par un tourillon bois préalablement traité ou par de la pâte à bois.
Traitement des bois de rives
Objectif : Injecter du produit fongicide dans les bois en contact avec la maçonnerie afin d’empêcher les champignons de s’en nourrir. Les bois de rives comme les poteaux raidisseurs, ont une fonction structurelle, il est donc important de les localiser, les diagnostiquer et les traiter. Souvent ses bois sont cachés, il ne faut pas hésiter à les faire dégarnir afin de réaliser un traitement efficace et vérifier leur état mécanique.
Technique : Sur chaque extrémité du bois de rive la zone contact bois/maçonnerie, il est réalisé deux injections débouchant directement dans la maçonnerie. Il est ensuite réalisé une série de forages en quinconce sur la longueur totale du bois, espacés les uns des autres de 20 cm. Les forages ont une profondeur de 3/4 de l’épaisseur du bois et un diamètre allant de 6 à 9 mm suivant la section du bois.
Après mise en place d’injecteurs plastiques à tête auto-obstruant, il est injecté à faible pression jusqu’à refus du produit de préservation des bois.
Rebouchage : Les chevilles plastiques peuvent être laissée en place, ou remplacée par un tourillon bois préalablement traité ou par de la pâte à bois.
Traitement des bois de colombage
Objectif : Les structures en colombages sont des zones particulièrement sensibles aux champignons, il est donc important d’apporter une attention particulière au traitement de ces éléments. L’objectif étant d'injecter du produit fongicide dans les bois afin d’empêcher les champignons de s’en nourrir. Les bois de colombages ont une fonction structurelle, il est donc important de les localiser, les diagnostiquer et les traiter. Souvent ses bois sont cachés, il ne faut pas hésiter à les faire dégarnir afin de réaliser un traitement efficace et vérifier leur état mécanique.
Technique : Réalisation de forages en quinconce espacés les uns des autres de 30 cm. Les forages d’un diamètre de 9mm ont une profondeur de 3/4 de l’épaisseur du bois. Après mise en place d’injecteurs à tête auto-obstruant, le produit est injecté à faible pression jusqu’à refus.
Rebouchage : Les chevilles plastiques peuvent être laissées en place, ou remplacées par un tourillon bois préalablement traité ou par de la pâte à bois.
Traitement des bois de charpentes contre la mérule
Les bois de charpentes devront être traités conformément aux modes opératoires des traitements contre les insectes à larves xylophages.